Le terme de "zone de confort" n'est que rarement utilisé dans l'apprentissage du tennis mais est par contre souvent présent dans les analyses de match des joueurs professionnels. Nous pouvons donc nous interroger sur ce terme, sa signification et l'importance de cette notion pour le joueur amateur.
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La finale de coupe Davis 2014 vient de s'achever avec la victoire de l'équipe suisse à Villeneuve d'Asq devant une équipe de France qui est passée par toutes les émotions durant les derniers jours. Au delà de la déception de la défaite (ou pour certains du bonheur de voir le saladier soulevé par Roger Federer), il est temps désormais d'essayer de faire un bilan de cette campagne de coupe Davis 2014 pour l'équipe de France car l'acharnement lié à la défaite dans certains médias, les accusations envers Jo Wilfried Tsonga d'avoir lâché l'équipe semble faire oublier le parcours réalisé jusque là.
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@lefigaro.fr
Le principe de base du tennis est qu'il se joue au minimum à deux et qu'il convient donc de trouver un ou des partenaires réguliers afin de le pratiquer et de progresser. Seulement, si certains joueurs sont heureux d'aller jouer quel que soit leur partenaire, d'autres essayent de sélectionner le plus possible ceux qui selon eux les feront progresser, en particulier des joueurs "plus forts".
Cela est-il forcément une bonne chose de ne choisir que des partenaires plus forts ? Nous pouvons légitimement nous poser la question. Nous allons donc tenter de déterminer les avantages et les inconvénients pour chaque partenaire en fonction de son niveau, mais également de ses motivations ou type de jeu.
